Rencontre dans un métro privé Sören

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Voilà un an, jour pour jour, que Jean avait été recruté pour aller dans les forces spéciales. Il devait faire des entraînements des plus complexes et variés, le mettant à bout dans ses capacités, ceci le forçait à se surpasser. Jean n'aimait pas vraiment ce genre d'entraînements, ça lui brûlait toutes ses calories, mais comment dire, il était obligé de les faire, même s'il était bien souvent, incapable des terminés. Il faut dire qu'on lui préparait ses parcours à lui, le genre de parcours qui le forçaient à utiliser 100 fois ses pouvoirs afin de passer les obstacles. Par exemple, il devait passer à travers la craques de deux portes blindés fermés et verrouillés, ensuite d'escalader des murs sans aspérites, l'obligeant à étirer ses bras afin de s'agripper à la bordure et ensuite de forcer afin d'y grimper à la façon « chen-up », car tous autres moyens lui étaient interdits, comme se propulser. Ensuite, de faire une course de 5kms, s'arrêter faire 10 «push-up», 20 redressements-assis et répéter le parcours encore quatre autres fois... Enfin, à chaque fin de journées, c'était le même refrain, il prenait sa douche après ses entraînements et les cours, se rhabillait, discutait un peu avec ses collègues, il allait ensuite au métro, se frayer un chemin dans la foule, puis il attendait le métro sur l'allée, puis à chaque jour c'était la même histoire, le wagon arrivait plein à en craquer, il fallait se frayer un chemin et il allait au même poteau qu'il utilisait tous les jours. Ensuite, il attendait sa sortie et il sortait du wagon, ensuite de la station de métro. Après, il marchait un bon 3kms pour enfin arriver chez-lui où il était libre de s'asseoir et de regarder les Ranger de New-York, sans avoir peur de prendre trop de poids.

Même si Jean ne s'en rendait pas compte, il faisait d'énormes progrès et s'habituait à ses entraînements, mais n'y voyait pas la fin et avait toujours l'impression que plus il ferait des progrès, plus les parcours allait se corsés et que jamais cela n'allait finir et il avait effectivement raison sur ce point. Anyway, ce jour-là, Jean était particulièrement fatigué par l'entrainement de la journée. Il était à son fameux poteau habituelle dans son fameux compartiment toujours habituelle, le wagon était comme à son habitude sur-chargé et il ferma les yeux quelques secondes et pris une grande respiration. Cela était son premier moment paisible de la journée. Puis il les rouvrit, il était déjà plus détendu, c'était un petit signe incontient qui lui disait que sa journée était finie. Il jeta ensuite un regard autour de lui, il voyait des gens comme lui, qui avaient fini leur travail et qui regardait généralement le sol. Certains d'entre-eux réfléchissait sur leur journée, d'autres sur leurs lendemains et les autres devaient se demander en quoi le sol du métro était fait, car aucune autre théorie lui venait en tête. De ceux qui ne regardaient pas le sol, en général ils discutaient ou regardaient par la fenêtre. Tout ça pour dire que, dans ce métro, l'ambiance était assez statique.

Ça devait faire quasiment un mois qu'elle était arrivé à . Bon enfin aujourd'hui elle avait décidé d'aller à l'extérieur pour toute la journée et en profita pour faire les poches des gens pendant une bonne partie de la journée et maligne comme elle était elle se débarrassait aussitôt des portes feuilles qu'elle avait vider avant en y laissant les cartes et tout ce qui n'était pas de l'argent. il était à peine midi et elle avait déjà une bonne liaisse de billets, elle en profita alors pour aller manger un petit quelque chose dans un restaurant pas trop chic, car malgré l'argent qu'elle avait, ils ne l'auraient pas laisser entré avec les vêtement qu'elle portait, c'est-à-dire sa paire de jeans qu'elle venait de troué en passant par dessus une cloture, ses bottes style gothique, même si dans le fond elle n'en avait plus de besoin, un chandail q'elle avait depuis un bon bout de temps avec quelques tâches qu'elle ne réussissait pas à enlever et ses fameux manchons en prime. Donc il lui était préférable de ne pas prendre de chance et d'aller dans un restaurant auquel elle était habitué lorsqu'elle habitué à Montréal, ce qui vvoulait dire d'aller dans un restaurant proche des quartiers malfamés.

Après avoir manger une sandwish au thon, dans un endroit qui était un mélange entre une boutique et une sorte de restaurant qui ne contenait que le comptoire et des tabourets elle s'acheta une barre de chocolat noir qu'elle mangea aussitôt avant de partir.. Elle repassa à l'endroit qui servait de QG au Syndicat, en passant pr des détours au cas ou que quelqu'un la suivait, question de prendre son cahier et tout le nécessaire pour dessiner, qu'elle mit aussitôt dans un sac noir avant de repartir aussi discrètement. Elle y laisse l'argent qu'elle avait volé. Avant d'aller dessiner un peu partout dans ville. Maintenant c,était le soir elle c,était rendu un peu trop loin dans la ville pour retourné au qG à pied, ce qui l,obligea à prendre le métro, même si l'idée ne l,enchantait pas, car si il y avait trop de personneavec des ondes négatives elle risquait de causé des dégats. Elle prit son courage à deux mains et entra dans le métro, même si celui-ci était bondé. Elle se trouva vite un poteau et essaya de rester calme pour ne pas faire un gros accident. Heureusement pour elle que la dernière station allait bientôt arrivé, en tout cas en attendant question de se distraire elle prit le porte monnaie de quelque passants qui ne s'en rendirent même pas compte, dont celui de Jean.

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Le métro s'arrêta à une nouvelle station pour y laisser entrer de nouveaux passager. Bon sang, le métro était déjà plein, mais ils se forçaient quand même à entrer, mais comment le monde pouvait-ils réussir à entrer dans cet endroit et est-ce que c'était si difficile d'attendre cinq minutes pour le prochain métro? En fait, à New-York, c'était normal que les moyens de transports soient bondés comme cela lorsque les travailleurs entrent chez-eux, mais ce n'était pas pour autant de tous confort. Les gens devaient se coller et on devait prier le ciel de ne pas avoir quelqu'un qui sent le « swing » à coter de soi, le monde s'accrochaient, se touchaient et de ces personnes il y en avait qui utilisaient la foule pour voler. Alors, il fallait toujours rester sur ses gardes, mais ce jour-là Jean ne s'occupait pas de ses affaires, la seule chose qui l'importait, c'était de sortir de cet endroit chaud, humide et bourrée..

Ainsi donc Jean se fit voler son porte-feuille. L'ironie de la chose, c'était qu'il allait se foutre de s'être fait voler son argent, 40$ n'était pas la fin du monde, mais il allait être beaucoup plus triste d'avoir perdu son porte-monnaie, car celui-ci était en cuir véritable, il valait beaucoup plus que l'argent à l'intérieur et c'était sa soeur qui lui avait donné lors d'un échange de cadeau... Alors, sa valeur sentimentale était quand même assez importante. Ainsi donc, Jean regarda autour de lui, il y avait à sa droite une jeune femme d'un genre de roux, châtain ou cela était un mélange de ces deux couleurs. La forme de son visage était propice à celui d'une artiste. Elle était belle, mais en même temps, Jean n'était pas au sol vis-à-vis sa beauté. Pour tout dire, elle avait fait quand même une bonne impression à Jean. Alors, il lui dit :

« Ouais, on dirait qu'on a la journée la plus calme de l'année.. »

En fais, Jean venait de se rendre compte à quel point sa phrase faisait penser à celle d'un vieux mononc qui n'a rien à dire à ses neveux. Si une personne aurait dit cela à Jean, il ne se serait pas gêné pour utiliser l'ironie afin de remettre la personne à sa place ou encore il aurait simplement envoyé un regard à la personne qui voulait tout dire. Le genre de regard disant : « Je m'en calis, tayeul... »...

Sören mit discrètement les jolis portefeuilles voler, dans son sac, elle allait s'en débarrasser rapidement aussitôt qu'elel allait sortir de ce métro. D'ailleurs elel avait hâte de sortir de là car elle commençait non seulement à se sentir coincé, mais aussi à avoir mal à la tête, à cause du nombre de personne qui était trop proche d'elle. Elle devait essayer de focuser sur quelqu'un, mais sur qui, la plus part des personnes ici n'avait pas l'air de bonne humeur, bon il faut dire que d'être coincer comme des sardines, ça n'aide pas à avoir le sourire sur la fasse, sans être hipocrite.

*Aller reste calme, tu vas bientôt arriver au terminus et là tu vas pouvoir sortir.*

Elle avait mal à la tête, comme lorsqu'on vous crie dans les oreilles, mais avec un porte voix. Elle avait même envie de griffer la personne juste à côté d'elle afin que la personne en question lui laisse un peu plus d'espace, car avec ses 200 livres de gras elle était vraiment écrasé et elle luttait pour pas écrasé la personne à côté d'elle, elle n'avait pas envie de faire subir le même calvaire à quelqu'un d'autre. Elle allait "gentillement" demande à la grosse personne de se tasser un peu, car elle avait l'impression qu'elle allait finir en bouillit sous tout son poids, lorsque son autre voisin lui parla. C'est juste là qu'elle remarqua que c,était un de ceux dont elle avait fait les poches, visiblement il ne s,était pas rendu compte qu'il c'était fait voler.

"Si ça c'est une journée calme, j'ose pas imaginer ce qui c,est les autres jours."

Puis elle finit par céder à une de ses envie, fasse à lagrosse personne.

"Dit m,sieur tu pourrais pas te tasser un peu j'ai l'impression d,être coincer en plus vous senté. pas bon du tout."

Bon elle n'aurait pas dut ajouter la dernière partie, car l'homme fit comme si il était sourdet là commença la bataille pour avoir un peu plus d'espace.

"Tu sais il est dans combien de tmeps de le terminus?" demanda-t-elle à son seul voisin assez sympa pour lui parler.

*fallait que je fasse vite pour ce post*

La jeune femme n'avait pas vraiment saisie l'ironie dans sa parole, enfin il préférait cela à la situation qu'il venait d'imaginer. Alors, il n'y répondit que par un sourire. Puis il regarda un peu autour de lui, certaines des personnes étaient en sueurs, ce n'était pas la joie de voir cela, car effectivement il faisait chaud. Puis, quelque chose de très drôle arriva, sa voisine avait à ses côtés avait quelque chose d'horrible : un vieux monsieur qui pu, c'est d'ailleurs la remarque de Sören qui lui fit détourné le regard vers le monsieur. Faut dire qu'elle n'avait pas été très courtoise avec celui-ci et qu'il faisait semblant de ne pas l'avoir entendus. Alors, Jean dit à Sören avec le sourire aux lèvres :

« Toi, t'as d'la classe! »

Enfin, Sören commença à se débattre un peu pour avoir de l'espace et c'était un moment typique pour lâcher une belle petite réplique comme Jean aimait bien dire, mais c'était bien de l'humour qu'il faisait :

« Ne trouves-tu pas qu'il fait bon vivre par ici? L'air pur et les grands espaces verts...»

Jean se trouvait drôle, malgré le regard que l'homme lui jeta après, mais on ne pouvait pas remettre le comportement de Jean à sa place, car ce travail était impossible et désespérant. À cet égard, la jeune femme lui demanda dans combien de temps allait être le terminus. Jean lui répondit alors :

« Press toi pas trop, tu as la chance d'humer les fraicheurs de la montagne encore 2 minutes environ, profite-en! »

Jean se moquait un peu du monde, mais en lui ce n'était pas méchant, il voulait juste se changer les idées et passer à quelque chose d'autre. Il faut dire qu'à son niveau, il était un cas désespéré... si on voulait faire de lui un gentleman parfait, la personne allait perdre son temps. Il avait ses calités et ses défaut, mais il adorait dire des niaiseries, comme si cela était une drogue pour lui. De plus la peur de se faire battre n'était pas vraiment présente chez-lui. Même que lorsqu'il se faisait écorer par des humains sur sa mutation, la plus parts du temps, c'était les humains qui se trouvaient sans mot à dire à la fin.

« Anyway, je ne te souhaite pas d'avoir ses ronds de sueurs sur ton chandail ha ha »

Sören ne fit pas attention à ce que Jean venait de dire, elle savait qu'elle n'avait pas été poli avec son autre voisin, mais étant de nature franche, sauf avvec qui elle respectait trop, elle n'allait pas maché ses mots et puis ce n'était pas de sa faute si il n'acceptait pas la vérité. Elle était en train de se débattra avec le gros balourd qui avait fait le sourd d'oreilles lorsque l'autre, dont elle ne connaissait pas le nom fit une autre remarque.

"C'est vrai que l'air est vert ici, tellement que même la fasse des personne l'est." rétorqua-t-elle en se débattant pour avoir plus d'espace et aussi en essayant "d'éteindre" son pouvoir d'empathie qui faisait en sorte qu,elle avait vraiment mal à la tête. "Encore deux minutes??? J'espère être capable de tenir jusque là, j'commence à avoir mal à la tête."

Elle continuait de se débattre avec l'autre qui faisait comme si de rien était, bon peut-être que si elle s'excuserait il allait lui faire de la place, ce qui n'allait pas arrivé et têtut comme elle était, elle allait se débattre lorsqu'à ce qu'elle puisse sortir de ce fichue métro.

"T'as un drôle d'humour toi."

Les deux minutes arrivèrent vite, Sören était contente de pouvoir sortir, d'enfin avoir de l'air pure. Malheureusement son humeur changea vite lorsqu'un idiot la eurta de plein fouet, la faisant tomber par terre, laissant ainsi son sac s'ouvrir et déverser une partit de son contenu, enfin de quelques portes-monnaies, elle se dépêcha de les remettre dedans en espérant ne pas avoir été remarquer par quelqu'un. Bon si elle se faisait prendre, elle allait réussir à se libérer et allait donner un faux nom. Elle se releva, s'épousseta un peu avant de continuer son chemin, vers l'espèce de restaurant qui était proche, sans se douter qu'elle avait été vut.

Jean écouta les réponses de la jeune femme, celle-ci lui répondait des phrases assez rigolotes auxquelles il y affichait son sourire. Par la suite, il observait, sans fixer du regard, la bousculade entre Sören et l’autre homme qui, tout comme Jean, faisait comme si de rien était. Il est vrai que Jean était social, mais il n’était pas du genre à faire une conversation avec une personne qui se battait, sauf s’il voulait empêcher la bataille ou simplement qu’il avait de quoi d’important à dire à la personne qui se battait… Puis doucement, le regard du jeune homme se glissa vers le sol, puis dégringola vers la fenêtre pour enfin tomber dans son monde. Dans ce genre de moment, il pensait aux choses qu’il avait fais dans sa vie, les bonnes choses, comme les mauvaises. Cette fois-ci, il se rappelait d’un moment assez triste de sa vie… C’était lorsqu’une de ses amies lui avait dit qu’elle avait le cancer et qu’il ne lui restait plus grand temps à vivre. Elle lui avait offert de passer un dernier, un unique et un ultime moment en sa compagnie avant son opération à laquelle, elle ne put survivre. Jean était heureux de le lui avoir accordé ce moment, mais il regrettait les derniers mots qu’il lui avait dit : ''Arrête, on sait tous les deux que tu vas t’en sortir''.
Bon sang, quel idiot! N’aurait-il pas pu simplement lui dire à quel point il tenait à elle et que peut importe ce qui allait arriver, il allait toujours la tenir dans son cœur.

Enfin, Jean revint à la vraie réalité lorsqu’une voix impassiblement robotique lui annonça le terminus. Alors, comme une tonne de moutons allant à l’abattoir, le troupeau de gens sortie du métro dans un semblant de liberté et comme les autres, Jean en sortis, oubliant la plupart des choses qui s’étaient passé dans celui-ci. Puis lors de son chemin, Jean vit la jeune femme qu’il avait vue plus-tôt dans le métro. Elle se fit renverser par un jeune homme. Celui-ci regardait sa montre lors de l’impacte avec sa victime, il devait donc être en retard ou ne voulait pas être en retard. L’homme se releva et jeta un regard derrière, vers la jeune femme qu’il avait renversé, mais il continua son chemin sans dire un mot. Il devait vraiment être très pressé!

Alors, Jean éclata de rire durant 3 seconde et commença à s'approcher, le sourrire au lèvres. En s’approchant de la jeune demoiselle et il remarqua comment elle était habillée, elle ne devait sûrement pas être la personne la plus riche de tous San-Francisco. De plus, il ne fut pas si surpris de voir de quoi était constitué la partie du contenu du sac de Sören étalé au sol, de ces choses principalement constituées de 3 portes-feuilles et d’un cahier de dessin, il y vit son porte-monnaie. Normalement, Jean aurait aidé toutes personnes à tous ramasser, mais cette fois-ci était une exception. Elle l’avait dérobé, lui Jean Damian, bon sang! Alors, Jean dévisagea la petite et prit sa propriété, l’ouvrit et remarqua qu’effectivement c’était bien le sien. Puis il regarda quelque peu la jeune, tenant toujours l’objet dans sa main droite au niveau de son visage et il lui dit :

« C’est mon portefeuilles ça? »

Jean était à la fois prit de pitié et de colère, mais il était principalement dominé par son principe de ne pas toucher aux filles. Peu importe l’issus qu’il décidait de choisir, il y avait tellement de moyens de lui faire regretter de l’avoir volé (sans la blesser) physiquement, mais il en était incapable… Il était bien trop orgueilleux pour s’abaisser à ce niveau… Ou n’était- ce seulement qu’une impression? Enfin, une chose était sûre, il n’allait pas la laisser partir comme ça. Il était prêt à la suivre à travers toute la ville pour cela et malgré qu’il avait perdu beaucoup d’énergie cette journée-là, il avait encore assez d’énergie pour courir 10 milles sans arrêter dans une vitesse bien au-dessus de la moyenne…

Elle n'eut pas de bsoin de le regarder directement pour sentir son regard qui la dévisageait. Si elle aurait eut un sens moral fasse au vol, elle se serait sentit coupable, mais là elle en a pas, enfin pas lorsqu,elle vole quelqu'un qui n'est pas pauvre, ce qui n'était pas son cas à première vue.

"Mouais et puis?" dit-elle comme si ce n'était rien, en le regardant directement dans les yeux avec ses yeux de dragons, comme pour lui dire qu,elle ne regrettait pas et que si elle avait l,opportunité de le refaire, elle le ferait, ce qui n'était pas faux.

Sur ce elle se contenta de remettre son sac sur son dos et de repartir chez elle en utilisant quelques détours cette fois, s,étant fait prendre avec des affaires qui ne lui appartenaient pas, elle devait réussir à le semer quelque part. Elle devait le faire vite et pas proche de chez elle. Sur ce elle tourna au premier coin de rue, ne connaissant pas parfaitement la ville, elle ne savait même pas où ça allait la mené, mais bon. Étrangement alors qu'elle essayait de le semer, elle ne courrait pas, elle faisait semblant qu'elle ne savait pas qu'il le suivait. puis à un autre coin elle tomba sur une ruelle, elle téait opeut-être coincé, mais bon à quoi bon la peine de courrie toute la ville, alors que ça pouvait rapidement se régler, qui plus est il n'était pas policier, totu du moins il n'en avait pas l'uniforme, donc il ne pouvait pas l'arrêter. Elle regarda rapidement autour d'elle et monta par dessus une poubelle et s'aggripa au barreaux de la sortie de secours et grimpe a le plus haute que possible, avant de passer par dessus les barreau et de s'asseoir. Elle sortit un ligthbright et s'amusa avec les flamme qui en sortait en attend que l'autre arrive. d'ailleurs ell ne put s'empêcher de sortir en le voyant entrer dans la ruelle, elle ne fit aucun bruit et se compta de l,observer, elle était curieuse de savoir comment il allait réagir.

"On cherche quelqu'un?" finit-elle par dire, le sourire toujorus aux lèvres, avec son petit air défiend, du genre vient me chercher si tu l'oses, qu'elle avait lorsqu'elle avait envie d'un peu d,action ou bien lorsqu'elel savait qu'elel avait à faire avec quelqu'un qui avait un fort caractère comme elle.

La jeune femme le fixait dans les yeux, elle ne semblait pas avoir de remord, démontrant qu’elle était forte de caractère. Normalement, la majorité des personne se seraient éclipsés en courant ou auraient été intimidés de s’être fait prendre sur le fait, mais pas celle-là. Les yeux de ces deux personne se croisaient telle deux rival, la tentions étaient palpables. Jean ne savait pas quoi répliquer à la jeune femme. Il la fixait son regard toujours plongé dans le sien, il inclina légèrement la tête et fronça légèrement son œil droit, car il voulait intimider sa victime, mais celle-là. Elle s’en foutait totalement. Puis tout bonnement, elle fini de prendre les choses ce qui ne lui appartenait pas et quitta la place. Un véritable coup-de-poing que Jean venait de se prendre dans l’orgueil. Néanmoins, Jean négligea un détail, cette partie était les yeux de la jeune femme qui était relativement étranges, mais il mit cela sur le compte de lentilles…
À ce moment, Jean était pris entre deux choses, devait-il la suivre et la forcer à rendre les choses à leurs propriétaires ou faire comme si de rien était et rentrer chez lui faire ses petites choses quotidiennes? Non! Pour un instant, la vie lui donnait une occasion de sortir de son cercle vicieux! Alors, Corky daigna deux regards, l’un à droite et l’autre à gauche sans tourner la tête et suivit la jeune femme... Celle-ci, le l’avait pas remarqué ou ne négligeait sa présence. Puis elle prit la première rue sur la gauche et avança quelque peu pour enfin se réfugier dans une ruelle.
«Trop facile» se murmura-t-il…
La ruelle qu’elle empruntait était un cul de sac! Enfin, Jean fit son entrer dans la ruelle puis à sa grande surprise, elle l’attendait avec un sourire, elle avait remarqué sa présence, ce devait être un piège et une genre de gagne de rue pouvait sortir de leur cachette à tous moments… Mais ce n’était pas ce genre de chose qui allait faire peur à une tête brûlée…
Hormis le fait qu’il se sentait dans un piège, il avait trop confiance en son pouvoir pour se laisser effrayer, alors il continua fixer Sören et lui dit :
« Petite, tu n’as pas choisis le bon Jack pour faire de l’attitude, rends les choses à leurs propriétaires et on en parle plus… »
Jean, alias Corky venait de traiter la fille de petite pour accentuer sa supériorité, car sous les yeux de la loi, il était le bon dans cette histoire. Il connaissait ses droits en tant que citoyen Américain et membre de LPDM. Elle n’avait aucune chance contre lui, surtout si elle se décidait de lui résister… Du moins c’était ce qu’il croyait! Puisque ce n'était pas tous les jours qu'il rencontrait des mutants.

» Propositions de Sören savaric
» Soso est dans la place^^

Rencontre dans un métro *privé Sören*

Rencontre dans un métro privé Sören